11 juillet 2013

Honneur aux Barbets

De 1792, date de l'invasion du comté de Nice, jusqu'en 1814, la soldatesque révolutionnaire (devenue ensuite impériale) s'est rempli la panse, les poches et a acheté godasses et fusils avec l'argent volé aux habitants du Pays de Nice, des centaines de résistants ont été assassinés par l'occupant. Mais le terme " Barbet " est bien trop vague et romantique, ces héros étaient nos ancêtres, ils étaient des êtres vivants et portaient des noms que nous portons encore. Il convient de leur rendre leur identité. Ne pouvant les citer tous, tant... [Lire la suite]

23 août 2012

Le Pays-Niçois, terre des Barbets...

Lors des nombreuses guerres et invasions que Nice a dû subir, elle a toujours été défendue par les milices de l’arrière-pays, qui formaient un contingent non seulement non négligeable, mais souvent plus important et plus combatif que les troupes ducales puis royales, de Savoie. Lors des sièges de 1543 de 1691 et de 1705, entre autres, les milices du haut-pays fournirent à Nice beaucoup de combattants. Lors de l’invasion révolutionnaire de septembre 1792 ce ne sont pas les troupes royales qui tentèrent de défendre Nice, mais bien les... [Lire la suite]
05 juillet 2011

L'arrière-pays, gardien de notre identité

Quelques fois, quand ils parlent d’identité niçoise, certains ont tendance à ne pas mesurer à sa juste valeur l’apport de l’arrière-pays à notre culture. Aujourd’hui la vie moderne a isolé les hommes et l’on ne connaît même plus ses proches voisins. Autrefois Nice et l’arrière-pays étaient tout à fait interdépendants, tant sur le plan économique, que culturel. Les liens du sang tissés par les mariages, une histoire et des intérêts communs, unissaient parfaitement la capitale du comté et tous les villages et territoires, même... [Lire la suite]
12 décembre 2010

"MASSENA, la trahison, les lauriers et les ombres" de Alain Roullier-Laurens

Masséna, est un personnage historique, déjà très controversé de son vivant. Le Dictionnaire Napoléon indique : « Les contemporains se disputaient déjà sur ses qualités militaires et ses engagements politiques, les historiens n’ont pas fini de s’affronter à son procès... ». Le début de la carrière du futur du maréchal, prêtait en effet à un très sévère jugement. Nul n’ignorait qu’il était le plus grand prévaricateur, concussionnaire et pillard, parmi les généraux des armées révolutionnaires qui pourtant n’étaient pas des plus modèles... [Lire la suite]