06 juillet 2008
L’année garibaldienne se termine le 4 juillet 2008, l’heure de rendre des comptes a sonné...
Curieuse année du bicentenaire de la naissance de Garibaldi en vérité, dans sa ville natale qui plus est. On se souvient que ce bicentenaire avait mobilisé le Comité Populaire créé par la L.R.L.N. Le 4 juillet dans l’après-midi, il avait organisé une cérémonie devant la sépulture de la mère de Garibaldi au cimetière du Château. Le soir, le Comité avait reçu l’arrière-petit-fils de Garibaldi (unique descendant direct masculin à porter encore ce nom) qui est conservateur de la maison-musée de Garibaldi à Caprera et le seul autorisé par... [Lire la suite]
16 octobre 2007
Sommaire bicentenaire de Garibaldi
Spécial Bicentenaire
Création de l'Institue d'Etudes Garibaldienne de Nice
La déclaration du descendant de Garibaldi aux Niçois occulté par le monopole de presse !
Le bicentenaire vu par la presse italienne
Le bicentenaire vu par la lorgnette municipale
Le bicentenaire vu par la poste française
Le bicentenaire vu par le monopole de presse niçoise
Pourquoi les "chemies rouges" ?
Scandale du bicentenaire
Scandale du bicentenaire (bis)
Médaille du bicentenaire
L'Autriche honore Garibaldi... [Lire la suite]
15 octobre 2007
Médaille du bicentenaire

15 octobre 2007
L’Autriche honore Garibaldi en reprenant la vignette du Comité Populaire Niçois

21 juillet 2007
Spécial bicentenaire

21 juillet 2007
Création de l'Institut d'Etudes Garibaldiennes de Nice
Répondant au souhait de M; Giueseppe Garibaldi, Alain Roullier président du Comité Populaire pour le bicentenaire, à fondé, à la date du 4 juillet 2007, « l'Institut Niçois et International d'Etudes Garibaldiennes » (I.N.I.E.G).
Cette Institut est destiné à étudier tous les aspect de la vie de Garibaldi, à publier livres et brochures, organiser des colloques etc. ainsi qu'à promouvoir la tradition garibaldienne à Nice. M. Giueseppe Garibaldi, souhaite affilier l'I.N.I.E.G à l'Institut Garibaldien d'Etat, qu'il préside à... [Lire la suite]
21 juillet 2007
La déclaration du descendant de Garibaldi aux Niçois occultée par le monopole de presse !
Non content d'avoir publié à l'occasion de ce bicentenaire des articles historiquement tendancieux sur Garibaldi, pour ne pas dire plus, non content d'avoir occulté les manifestations du Comité Populaire Niçois, dont il était pourtant averti, le monopole de presse, apparemment, a choisi, à l'occasion de ce bicentenaire de faire bénéficier ses lecteurs d'uns splendide politique de non-information, car il à également passé sous silence la déclaration Giueseppe Garibaldi aux Niçois (qui lui avait été faxée ) ! Le monopole de presse,... [Lire la suite]
21 juillet 2007
Le bicentenaire dans la presse italienne
La « vente » du logo Garibaldi à Nice fait des remous chez nos amis transalpins... qui n'apprécient pas du tout, et avec juste raison, qu'un mercantilisme anti-garibaldien salisse la mémoire du héros au moment où il convient de l'honorer. Citons un extrait du compte rendu d'Andrieu Toscani dans Italia Tricolore; même ceux qui ne parlent pas italien comprendront :
« ... Un sedicente comitato onoranze all'Eroe, comitato autoproclamatisi [...] mentre i mebri sono persone che non godano di acune stima tra il veri Nizzardi, ha... [Lire la suite]
21 juillet 2007
Le bicentenaire vu par la lorgnette municipale
La majorité municipale et son chef, natif de Belfort et amateur de musiques militaires, ont apparemment confondu la naissance de Garibaldi avec sa mort. Peut-être, qui sait, dans le secret espoir d'en enterrer le souvenir, ils ont célébrer l'anniversaire de sa naissance... au monument aux morts ! Une gerbe jetée en cinq minutes devant la statue du héros et le cortège fila comme s'il y avait le Diable sur la place Garibaldi, vers le monument aux morts, aux accents de la musique de... la Légion étrangère (on se demande bien... [Lire la suite]
21 juillet 2007
Le bicentenaire vu par la poste française
Un navire de guerre italien, parti de Caprera, avait convoyé à Nice un bureau de poste temporaire et un cachet spécial destiné à oblitérer la date du 4 juillet, le timbre italien émis en l'honneur de Garibaldi. Un bureau de poste temporaire français a fait de même. Mais si un cachet commémoratif spécial « 4 juillet » a bien était utilisé pour l'occasion, la poste française a commis une incongruité vis-à-vis de Garibaldi et pire, elle a procédé à un choix insultant pour les Niçois : non seulement elle n'à pas émis de timbre pour... [Lire la suite]