Le maire estimant que M. Estrosi tenanit des propos stupéfiants et contraires à la réalité les à qualifiés de « minables, sales et déloyaux ». Il a indiqué que compte tenu de la tournure que prenait la campagne, il faudrait peut-être, bien qu’il y répugne chercher dans le passé des uns et des autres. Citant nommément. MM. Estrosi, Rudy Salles, Bernard Asso, Joseph Calza, Olivier Bettati et Mm. Pauline Canepa, il a déclaré : « les revoilà, les responsables, plus encore que Jacques Médecin, de l’effondrement de la Ville, de sa ruine financière qu’il a fallu que je répare… » Défendant son bilan, il a souligné que l’endettement des Niçois a été réduit de près des deux tiers, tout en baissant les impôts, et que 1 435 milliards € ont été investis depuis 1995 dans de nombreux équipements alors que le Conseil général qui était débiteur d’emprunts pour 93 millions € en 1993, est endetté aujourd’hui de 542 millions €