En réaction au petit article d'hier, le 7 février, voici le droit de réponse de M. Roullier au quotidien Nice-Matin. Il est paru (partiellement) dans le Nice-Matin d'aujourd'hui, voici le droit de réponse complet :

« C’est en qualité de simple particulier que j’ai obtenu aux municipales de 2001 le score que vous indiquez, encore que mes bulletins ne figuraient pas dans plusieurs bureaux de vote et que dans d’autres ils n’étaient pas placés dans l’ordre légal. Aujourd’hui, la LRLN dont je suis président, existe et  compte plus de 5000 membres et sympathisants, on ne peut donc comparer mon engagement de 2001 à celui de 2008. Vous évoquez « un drôle d’attelage » avec Jacques Peyrat, alors que les alliance d’autres hommes politiques Niçois pourraient mériter cette observation. J’ai effectivement été l’ennemi acharné du système parisien qui régnait à la mairie ; aujourd’hui le maire n’en est plus prisonnier ce qui lui a permis d’ouvrir sa liste a la société civile et à accorder à mes amis et moi, ce que précisément nous réclamions depuis toujours, à savoir la restauration de l’identité niçoise, qui est le but essentiel de la LRLN,  qui se décline ainsi : Ligue pour la Restauration des Libertés Niçoises»